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    Conférences organisées par le département Information - Communication
    Université Rennes 2 Haute Bretagne

    Conférences universitaires
    Responsable : Mme Catherine Loneux

    1999-2000
    Invités:

  • D.Bougnoux
  • B.Floris
  • F.Mispelblom
  • Ph.Breton

  • 2000 - 2001
    Invités:

  • B.Miège
  • D.Dayan
  • Y.Winkin
  • Ph.Breton

  • 2001- 2002
    Invités :

  • M. Robitaille
  • M. Diklic
  • Mme. Gabay
  • M. Jeanneret

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    CONFERENCES INFOCOM 1999-2000

    Haut

    • Intervention de Daniel Bougnoux - vendredi 26 mars 1999


    La médiologie : cadrer et regarder quelque-chose qui paraît déjà familier. L’homme qui parle est pris par la linguistisue, la psychanalyse, le rêve,

    Qu’est-ce que transmettre ? On a l’idée de transmission, de génération, d’un avant et d’un après. Alors que dans la médiologie, l’idéologie de la transmission diffère de celle de la communication. La première est reliée au leg symbolique dans le temps, elle est diachronique. La seconde est synchronique, c’est de la communication en direct, on a une maîtrise de l’espace.

    La transmission est ancienne (homo erectus et le silex biface, transmission des outils à sa progéniture), mais comment est-elle possible ? C’est la question de la culture qui est posée, celle de l’homminisation. Les animaux ne transmettent pas d’héritage acquis. par quelles ruses techniques, par quels outils, le temps est-il cumulatif ? Les outils sont façonnés par l’homme, mais ils façonnent l’homme aussi.

    Quelle est la condition de tout acte de transmission ? Les SIC doivent creuser cette profondeur temporelle. Les documents, les témoignages de vie passés, sont class és comme des documents. On a une crispation sur la mémoire. Les lieux de mémoire (Nora), la politique de la mémoire, le gouvernement du tamps, toutes ces notions sont à relier avec des questions politiques. L’inscription, l’enracinement, relèvent de la gestion du symbolique.

    La question de la culture

    Il y a une différence entre la conception de Sperber et celle de Debray. Sperber a une vision naturaliste de la culture, il parle de contagion, de propagation de virus qui poirrait être assimilée à la propagation des idées. Cela rejoint l’américanisme de Leroy-Gourant. Debray adopte lui une perspective plus historique, et refuse de biologiser l’histoire humaine. La transmission symbolique et ses outils comptent, contrairement à ce qui se retrouve chez Sperber, dans son ouvrage " La contagion des idées " (Odile jacob). Debray parle de contagion, de propagation de formes et d’idées, la culture serait ce qui permettrait la transmission. C’est une vision culturaliste et anthropologique, opposée au biologique.

    Comment surmonte-t-on l’animalité ? L’homminisation, c’est articuler plus que disjoindre les notions de naturalisme et de sociologisme.

    La médiologie est vue comme une transmission. Quels sont les outils de l’homminisation ? On peut penser que les tombes, les tumulus, les dolmen, sont les premiers vestiges émouvants de la mémoire des hommes. La sépulture est une ressource d’observation inépuisable, un acte culturel par excellence. Il s’agit du marquage de l’espace par le temps.

    L’axe 1 : le temps de la transmission.

    L’axe 2 : la conquête de l’ubiquité ou l’espace de la communication, la maîtrise de l’espace, le passage du qualitatif au quantitatif. La communication : standardiser ce qui se vit dans la quantité pure, rendre l’espace isomorphe et standardisé. Comment rend-on l’espace circulable ? Qu’est-ce qu’une route ? Les animaux se déplacent de A à B mais n’ont pas de route réellement. La route n’est pas le trajet, elle est bi-directionnelle, on peut revenir au point A.

    L’information s’est détachée des supports musculaires et animaux. Les messages se sont détachés de la vitesse musculaire. Ex.: le télégraphe optique, début 19ème, était le premier moyen de découpler l’information des corps matériels en mouvement. Dématérialisation des messages, les messages transmis sont de plus en plus immatériels. Les routes étaient des espaces de plus en plus aléatoires. La route de la soie, avec les légendes, les lettres qui arrivaient trop tard, la rumeur, etc. On a perdu l’idée d’insécurité des routes. On a aussi l’idée d’interopérabilité des médias.

    La standardisation des médias, de la culture, ouvre la diversité des messages. On a donc une multiplicité des routes qui n’encourage pas l’uniformisation des messages. C’est une conquête ubiquitaire de l’espace. Le temps du récit s’exerçait dans la graphosphère.

    1450 - 1950 : la culture est dominée par la performance livresque, ls hommes politiques sont toujours avides d’écriture. C’est une manière de capitaliser symboliquement leur autorité. Ce qui était fondé sur le récit et le différé du livre a disparu. L’image est aujourd’hui perçue différemment. Le choc du livre (graphosphère) et de l’image (vidéosphère) apparaît. Des couches sémiotiques différentes apparaissent, on a des traitements différents de l’information.

    Il faut composer en pensant que " ceci ne tuera pas cela ", que l’écran ne tuera pas le lisible.

    Leur coexistence doit être encouragée. On a une friction, un chic entre la graphosphère et la vidéosphère. Le travail de la communication est de mieux évaluer les ressources symboliques, l’histoire de ces affrontements. La religion figurative et la religion iconoclaste. On voit que ces questions ont travaillé notre histoire culturelle.

    c’est une affaire de complémentarité et de contradiction. Il faut que le monde aboutisse à un livre, pensait Mallarmé. L’écran donne des images, des textes, des sons, on a une matrice pour le savoir. l’écran est devenu le lieu de mémoire. On a une critique du logo-centrisme qui foncde la graphosphère, c’est-à-dire que le langage est la base de la culture respectueuse. Le reste serait dégressif : les indices, les images, ces couches sémiotiques réputées moins bonnes.

    D’autres formes de mémoire existent aujourd’hui. Qu’est-ce qu’un livre ? Le hommes ont dit le monde grâce à cette forme froide typographique.

    L’ordre de l’abstraction du livre fait que l’on est craintif devant l’interactivité : " un livre est un lieu où les mots sont en repos ".

    dans le livre, tout est en mouvement. Faut-il craindre cette activité ? " Ceci ne tuera pas cela " (Hugo, Notre-Dame de Paris).

    15ème siècle, ironie : l’imprimerie était mal perçue. Le déclin de l’analphabétisme. Le livre était associé à la barbarie, en opposition avec les liens sociaux primaires.

    Tu garderas l’énoncé au plus près de l’énonciation, ouverture technique démocratique. Détacher l’énoncé de l’énonciation, sinon, on est dans une relation d’autorité. Le texte est toujours plus fort.

    Le direct, le différé, dans la télécommunication

    L’interactivité, le retour à l’oralité, qui était avant pré-graphique. Les médias se pensent entre eux. Les ruptures médiatiques existent, si l’on sait par exemple que la photographie s’explique par l’invention de l’imprimerie. Les ruptures sont au service de l’individualisme. On a une privatisation des savoirs, un recul des anciennes communaiutés organiques. Les schémas autoritaires reculent.

    L’axe diachronique de la transmision, culminant dans le graphisme

    L’axe synchronique de la communication, culminant dans les réseaux d’interactivité directe.

    Axe 1 : les outils

    Axe 2 : les images, le visuel

    Or, on a une contradiction entre raconter une histoire et regarder des images. On a une bifurcation de la culture, quelque-choise de plus affectif, de moins syntaxique, de plus global, les messages deviennent véhiculés par les images, c’est moins analytique. Charnière de ce jeu image V. récit.

    Paul Ricoeur et le récit : on ne raconte plus l’histoire commme avant si on la dit par images ou par CDRom. le déclin du roman n’équivaut pas à la fin du récit. On a une pulvérisation du récit par l’image, écrit JFLyotard, la postmodernité correspondrait à la fin des récits.

    Il y a toujours une perte de sens dans la transmision. On se spécialise et on a de meilleures contextualisations. On ne peut pas avoir le contexte de l’informationet toute l’information. On est aux prises avec une forme. Les artistes sont aux prises avec un filon, un pattern, en extension, et non en focalisation.

    - La formule de Mac Luhan " medium is message ".

    On n’envoie pas le même message sur des supports très différents. Le support est caché par le message. Il y a du caché pour la médiologie, ce caché c’est le média. On a un aveuglement vis-à-vis des conditions d’acheminement du message, une fascination pour les performances symboliques et culturelles.

    On connaît par exemple mieux l’histoire des guerre que celle de l’intendance, des armes. Même chose pour la peinture, les oeuvres, vis-à-vis des aspects techniques (ie pigments). Il n’y a de science que du caché. L’inconscient technqiue existe. regardrer un film, c’est oublier le fait technique du film. Le bon média travaille à se faire oublier.

    S a -> S é

    Lire c’est oublier la page Le retour du signifié vers le signifiant est le média.

    L’arrêt ur le média est la médiologie.

    Ce couple Signifiant / Signifié sert dans les études structuralistes.

    Le média comme message est la base des études des relations dialectiques.

    L’art : la teknè

    L’autonomisation de l’art est venue plus tard. A la Renaissance, on a des oeuvres signées référées à des auteurs, la valeur artistique se renforçait.

    On a aujourd’hui un écrasement de cette histoire de l’art. On voit quelque-chose de plus confus, autour des nouvelles technologies. L’esthétique sépare pas le matériau du message. Quand les signifiants comptent : c’est de la poésie. " le hasard est vaincu mot par mot " : Mallarmé.

    On ne peut pas comprimer sur le plan esthétique.

    Il n’existe pas de codes qui permette d’élaguer le message. Un code structurant existe. L’invariant du code peut redonner à un message sa plénitude communicative.

    Dans l’oeuvre d’art, l’oeuvre et elle-même son propre code. Point important pour la réflexion dialectique mediumm / message.

    Peirce : type / token

    Le type de la langue permet la reconnaissance du token. Chaque token est un type.

    Le code est un élagage. Le type n’est pas dégagé dans la photographie. Le dessin, c’est mieux. Il extrait le type, ex: le champignon représenté en photo ou en dessin. Par le dessin on essaie de nous donner du code. La phot sera très élagante, individualisante. Il y a des photos généralisantes, typifiantes, mais elles sont surtout brouillantes. Le code, c’est l’archétype.

    L’avenir est au léger, au fluide, la pierre va chuter.

    Une performance communicationnelle passe par l’allègement croissant. On a une dématérialisation des supports de messages.Un nouveau support. Les hommes de création, les prophètes, ou les poètes reprennent leur rôle et changent de support. Fin des grands efforts de l’humanité, de l’architecture comme support. Le passage de la pierre au papier est le passage de l’immeuble au meuble.

    Le déterminisme technologique :

    changement de support signifie changement de culture. Gutenberg en 1454 : Luther en 1521

    Corrélation entre technique et culture. Le facteur technique est toujours enchassé dans une évolution plus large : les techniques se perfectionnent mais les usages sont anciens. La technique est le compromis entre le vecteur de nouveauté et des usages beaucoup plus vieux. Des milieux où les NTIC arrivent, où on parachute des techniques, où on a des transferts de technologie, sont sujets à fiasco parfois.

    La relation pragmatique différente de la relation technique.

    Le sujet surplombe l’objet dans la relation technique. Dans la relation pragmatique, on a une relation de sujet à sujet. L’action pragmatique est donc aléatoire (la praxis, l’action de l’homme sur l’homme). Cette relation sujet à sujet enchasse. Il faut toujours du pragmatique pour contextualiser le technique. On a une relation réverbérante, aléatoire. Si on prend l’exemple de la conversation, personne ne la pilote totalement, dans son ensemble. La communication, action de l’homme sur l’homme, ne voit pas une action de l’homme sur la chose. La conversation est copilotée horizontalement. Une relation pragmatique peut toujours échouer. On interagit dans un processus plus large, on n’est pas maître à bord.

    C’est le primat de la relation (Francis Jacques, coll Repères). Le " care ", relation Sujet à Sujet, et le " cure ", relation Sujet à Objet.

    Il ne faut pas rabattre les relations intersubjectives sur des relations technique. Inversement, on peut intervenir dans le psychologique avec de la technique.

    L’idée de milieu :

    Il s’agit d’autorisation plus que de détermination. Il y a une efficacité de la notion de milieu. Une causalité existe dans la médiologie. Comment un milieu agit-il ? la médiologie est une écologie. Un milieu n’agit pas de façon linéaire (stimulus -> réponse). On peut isoler les causalités négatives plus que celles positives. La causalité est négative. Si on n’a pas tel facteur technique, alors on n’aura pas tel effet. C’est du déterminisme ravageur. Les rapports écologiques entre telle infrastructure et telle structuration de la société existent.

    Jack Goody : absence de société orale dans l’Afrique de l’ouest. Une tradition d’accumulation critique dans l’histoire scientifique. La question des supports, de l’inscription est importante. En conclusion, on peut dire que la condition est nécessaire mais n’est pas suffisante.

    socialisme // typographie, 19ème siècle:L’idée de transmettre.

    Debray réfléchit à la question du monothéisme : pourquoi a-t-on une religion monothéiste ? Cela est lié à la mobilité des égyptiens qui sont passés d’une civilisation agraire à une tradition plus nomade, la tora a remplacé les statues des dieux polychrones. Le monothéisme est donc venu des contraintes imposées aux voyageurs.

    On constate donc que des petites causes techniques peuvent avoir de grands effets civilisateurs. Le monothéisme est lié à la contrainte de la sédentarité.

    5 - L’efficacité symbolique

    Qu’est-ce qui fait que des oeuvres se diffusent ? Comment une idée fait-elle corps ? Quelle est la vérité intrinsèque du message ? Si toute science naît de l’étonnement, alors il y a un étonnement médiologique.

    Les missionnaires et la propagation de la foi.

    La rétro-position de l’origine compte. JC rétroposé par les premiers conciles. Invention de l’histoire sainte. ce sont les clercs qui fabriquent le vrai après coup. La création d’un " isme " mérite toute notre attention, il faut observer comment une idée change l’histoire.

    Ex : le codex est substitué au noumen

    Le codex est le papyrus, le bois, les planches, on peut indexer, pointer. C’est un régime pauvre, mais en avence sur le plan technique. Le noumen, grand rouleau, permet le repérage de textes, mais cette invention n’a aucun avenir.

    Voir les écrits de Maurice Suchot.
     
     
     
     

    CONFERENCES INFOCOM 2000-2001

    Haut

    • Yves Winkin, jeudi 22 février 15H00 à 18H00: " Anthropologie de la médiation touristique "
    • Bernard Miège, jeudi 1er mars 13H00 à 15H00: " Les industries du contenu "
    • Philippe Breton, jeudi 19 avril de 14H00 à 17H00: " Le culte d’internet "
    • Daniel Dayan, jeudi 10 mai de 14H00 à 17H00: " Les cérémonies télévisuelles "

     
     
    • BERNARD MIEGE - " Les industries du contenu face à l’ordre informationnel "


    Jeudi 1er Mars 2001 de 13H00 à 15H00, AMPHI L 1 (Bâtiment du pôle langues)

    Les industries du contenu - ou les programmes - sont, avec les réseaux et les outils (ou matériels) de communication, l’une des trois composantes des " industries de la communication ". L’avenir de celles-ci, comme on s’accorde le reconnaître, dépend largement de la capacité des firmes, grandes et petites, à industrialiser des services.

    Ce procès est engagé, car les " modernes industries du contenu ", pour une bonne part, sont en continuité avec les industries de la culture, de l’information ou avec des médias de masse, dont elles reprennent plus ou moins les règles de fonctionnement spécifiques, formées depuis un siècle et plus.

    Pour éclairer les enjeux très actuels de l’industrialisation de l’information et de la culture, il faut faire un retour sur des modalités connues et déjà expérimentées, comme l’édition ou le " flot ", auquel les médias de masse nous ont accoutumés.

    L’accès à la musique enregistrée en ligne, les licenciements chez Amazon.com ou le contrôle de Universal par Vivendi: des interrogations bien actuelles qui ont toutes à voir avec la question des industries de la culture et de l’information.

    Bernard Miège est professeur de sciences de l’information et de la communication à l’université Stendhal Grenoble 3, et dirige le laboratoire de recherche GRESEC.

    • PHILIPPE BRETON, "Les mythes de l’Internet"  Jeudi 19 avril 2001 de 14H00 à 17H00, AMPHI FEUILLERAT
    • DANIEL DAYAN, "Les cérémonies télévisuelles"  Jeudi 10 mai 2001 de 14H00 à 17H00, AMPHI L1
    • YVES WINKIN -  " Anthropologie de la médiation touristique "
    Jeudi 22 février 2001 de 15H00 à 18H00, AMPHI L 3 (Bâtiment du pôle langues)
     

    La " communication interculturelle " est à la fois un objet et un champ de recherche. Pour en parler concrètement, je voudrais me concentrer sur une forme de communication interculturelle, celle qui structure les relations entre " touristes " et " hôtes ". Le discours courant dira qu’il n’y a pas de communication entre les touristes et les acteurs locaux -sinon quelques bribes de conversation avec divers marchands de " souvenirs ". A la fois pour des raisons empiriques et théoriques, je me propose de prendre à rebrousse-poil cette assertion facile. Je m’appuierai sur une présentation du film de Dennis O’Rourke, Cannibal Tours, pour amorcer une réflexion sur le rôle du guide touristique, qui est moins un " médiateur " qu’un " cadreur ", c’est-à-dire un expert qui fixe les " cadres d’expérience " (Goffman) offerts aux touristes. L’expérience touristique peut ainsi être envisagée comme une " willing suspension of disbelief " (Coleridge). Comme une tentative de réenchantement du monde. La suite à l ’écran.

    Références:

    • Yves Winkin, " Le touriste et son double ", in Anthropologie de la communication, Bruxelles, De Boeck, 1996; Paris, Le Seuil, 2001, coll. Points.

    • E.Goffman, Les cadres de l’expérience, Paris, éd. de Minuit, 1001.
       
       


    CONFERENCES INFOCOM 2001- 2002

    Haut

    Invités :

    • M.ROBITAILLE
    • M.DIKLIC
    • MME.GABAY
    • M.JEANNERET
    • René Robitaille " L’internet et la publicité ", 06 décembre 2001, présentation des travaux du québécois
    • R. Diklic, " Médias et politique - le rôle des médias en période de crise" Jeudi 31 Janvier 2002, de 14H00 à 16H00
    Monsieur R.Diklic est actuellement ambassadeur de la République Fédérale de Yougoslavie à Paris.
    Mr.Diklic, ambassadeur depuis un an, était auparavant le fondateur et le directeur d'une agence de presse indépendante du pouvoir politique, Beta, dont les résumés de nouvelles étaient accessibles par Internet, permettant ainsi à un public assez large l'accès, y compris pendant la guerre de 1999, à une information autre que celle délivrée par les médias sous contrôle du pouvoir politique.
     
     
    • Michèle Gabay, qui vient d’écrire un ouvrage consacré aux problématiques de communication de crise, publié chez Elsevier

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